Very Bad Trip
"Quand y a un loup, ça va, c'est quand y en a beaucoup que ça pose problème." La menace est constante (loups, hommes, froid) ce qui permet d'avoir toujours du rythme et de passer sur certains...
Par
le 24 nov. 2016
Premier album correct. Musicalement il ne fait pas mieux que ses cousins d'Amérique. Néanmoins son univers reste unique. Il utilise un argot et des références plus originales et personnelles (à ne pas confondre avec intimes) que ses confrères français (et belges), surtout cinematographiques. La toile de fond est classique: la bicrave, la débrouille, etc. Elle est néanmoins ancrée dans Courbevoie (qui n'a jamais sorti de rappeur il me semble) et donne lieu (parfois) à autre chose que de l'égo trip. Par exemple, "Faut que je fasse" qui donne à entendre le blues du dealer. Dans Vréel (et FreeBase 1 et 2), un quotidien (plausible) de jeune débrouillard est mis en scène. Ce qui le rend très différent de Hamza, qui reprend sans filtre les thèmes de ses modèles US.
Créée
le 22 nov. 2016
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