avec ce nouvel effort, les Viagras Boys quittent les sentiers battus du post-punk ayant forgé leur identité quelques années auparavant, pour laisser libre cours à une certaine expérimentation. Rien de nouveau cependant au niveau de la qualité de son, volontairement sale de bout en bout, le chant grinçant et éraillé de Sebastian Murphy aidant (et son passif avec la drogue très certainement aussi...). Même si au premier abord, l’emploi de tout un panel de styles peut surprendre et désorienter, quelques écoutes assidues permettront de transformer ce joyeux bordel en un ensemble plutôt satisfaisant et cohérent.
Retrouvez ma chronique complète juste ici : https://www.albumrock.net/album-viagra-boys-welfare-jazz-10389.html