9
Humilité et rock'n roll.
« Down On The Corner » ouvre l'album avec efficacité : riff simple, clair, rythmique enragée, voix puissante, complètement libérée, pleine de confiance, de conviction et de cette...
le 9 mai 2020
4 j'aime
3
At the corner of the street
'Willy and the Poor Boys' est l'un des tous premiers vinyls que j'ai eu entre mes mains, ou plutôt dans ma collection. Avec le recul, je me dis que je tenais une vraie merveille ! Je tiens une vraie merveille !
Après 'Cosmo's Factory' (sorti quelques mois après celui-ci), cet album est la deuxième référence ultime du groupe en matière de galette studio. Il fait partie de leur période dorée (69/70) avec l'autre album ci-dessus nommé; deux tueries intemporelles du country rock.
Je pense avoir usé mon disque à force de l'avoir écouté, et je ne m'en lasse absolument jamais.
Une pochette un brin nostalgique, où à chaque fois que je la regarde, j'imagine les quatre en train de discuter avec les gamins devant le Duck Kee Market qui se trouve être à Oakland, CA. après une petite recherche, au 1209 34th Street pour être précis, je me dis que les loustics ne sont pas allés bien loin pour prendre la photo de leur album, puisqu'ils sont eux-mêmes du coin.
Avec Down on the Corner, Cotton Fields, Feelin' Blue, Fortunate Son, Don't Look Now (It Ain't You or Me), The Midnight Special, Effigy, ce sont des pépites que l'on a ici.
Un grand moment de la musique..encore une fois avec Creedence !
Après 'Cosmo's Factory' (sorti quelques mois après celui-ci), cet album est la deuxième référence ultime du groupe en matière de galette studio. Il fait partie de leur période dorée (69/70) avec l'autre album ci-dessus nommé; deux tueries intemporelles du country rock.
Je pense avoir usé mon disque à force de l'avoir écouté, et je ne m'en lasse absolument jamais.
Une pochette un brin nostalgique, où à chaque fois que je la regarde, j'imagine les quatre en train de discuter avec les gamins devant le Duck Kee Market qui se trouve être à Oakland, CA. après une petite recherche, au 1209 34th Street pour être précis, je me dis que les loustics ne sont pas allés bien loin pour prendre la photo de leur album, puisqu'ils sont eux-mêmes du coin.
Avec Down on the Corner, Cotton Fields, Feelin' Blue, Fortunate Son, Don't Look Now (It Ain't You or Me), The Midnight Special, Effigy, ce sont des pépites que l'on a ici.
Un grand moment de la musique..encore une fois avec Creedence !
9
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste A un pouaal du Graal musicaal
Créée
le 5 janv. 2013
Critique lue 573 fois
9 j'aime
D'autres avis sur Willy and the Poor Boys
9
Critique de Willy and the Poor Boys par Erw
Troisième opus de l'année pour Creedence Clearwater Revival, on se demande un peu comment le groupe faisait pour avoir encore du mou à vendre. Mais cela ne les empêcha pas d'enregistrer quelques mois...
Par
le 1 nov. 2015
4 j'aime
8
Critique de Willy and the Poor Boys par XavierChan
En dépit d'un instrumental à l'harmonica sans intérêt, un pur album rock avec hymnes et morceaux plus intellectuels à la pelle. Et ce Fortunate Son qui résonne aujourd'hui comme un pur chef d'oeuvre...
Par
le 19 févr. 2019
Du même critique
9
The last bell is ringing
The Division Bell est tout simplement le dernier et ultime album studio de Pink Floyd. On est en 1994 et outre le fait qu'il soit le dernier de la superbe discographie du groupe, il est celui par...
le 11 janv. 2013
34 j'aime
10
2
Cet album est juste une daube, rien de plus.
Je fus un mouton moi aussi. Ayant remarqué ça et là les critiques dithyrambiques, je me suis dit qu'avec de tels éloges je ne pouvais tomber que sur quelque chose de génial. Certes, Rat Diot Ed et...
le 12 févr. 2013
30 j'aime
68
10
La technique au service de la composition
Je suis choqué. Oui je suis définitivement choqué, abasourdi, en position PLS dans un coin, suçant mon pouce comme quelqu'un qui viendrait de subir un énorme trauma, et qui ne pourrait plus bouger...
le 14 févr. 2013
23 j'aime
1
