Le cru 1967 m'a lassé malgré le fil conducteur de la menace qui pèse sur les mutants et le monde, une organisation nommée facteur 3. Malgré quelques moments de bravoure, le retour du colosse, et le pétrin dans lequel sont fourrés les x-men le charme de ces vieux comics se perds. Roy Thomas, nouveau scénariste ne me convaint pas et la portée sociale que peut avoir l'oeuvre x-men n'est pas du tout développée ici.
Toujours des répliques vieillottes sympathiques, des personnages un peu plus attachants, une amourette qui évolue très très lentement, et on apprends que pour tuer un démon dans un univers atemporel il faut lui balancer une montre à la gueule.
A la dernière page la première équipe de Super mutants obtient de nouveaux costumes, ce qui laisse peut être présager un renouveau. Espérons le.
Sur ce il faut que je mette la main sur le cru 1966 de Spider-man, les mutants m'ont un peu lassés.