« Spider-man, l’intégrale 1970 » ne me laissera pas un souvenir très vivace.
Les dessins de Romita et surtout de Buscema sont toujours d’excellentes qualité avec un héros gouailleur évoluant dans les gratte ciels new-yorkais, mais Spider Man manque pour moi de renouvellement dans ses challengers charismatiques.
Le seul intérêt de cette intégrale reste les errements personnel de Parker, dévoré par son secret trop lourd à porter et par un terrible sentiment de culpabilité envers Gwen, qui accuse Spider Man de la mort de son père qui au passage avait découvert le secret de Parker.
Malgré cela cette intégrale conserve pour moi un fort goût de réchauffé.
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