Si « Spider-man, l’intégrale 1971 » n’est sans doute pas un must absolu, force est de constater que les scénario tiennent bien la route, avec un Peter Parker plus mal dans sa peau que jamais après le meurtre de Stacy et terriblement tiraillé par sa double vie incompatible avec la vie normale d’un jeune homme de 20 ans.
La teneur sociale plus marquée (drogue, prison, minorités) bien qu’étonnante donne un coté plus relevé et bien ancré dans son époque aux aventures du Monte-en-l’Air new-yorkais.
Coté graphisme, Gil Kane n’a rien à envier à John Romita, son style plaisant étant comparable à celui de son historique prédécesseur.
D’un point de vue plus critique, si le Bouffon Vert demeure l’ennemi le plus excitant de Spider- man, on notera la présence de personnages peu inspirés comme l’horrible Morbius, le minable Rôdeur et la présence de seconds couteaux fadasses comme le Scarabée ou Iceberg.
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