Action. Cela peut très bien résumer ce #3. L'histoire livre enfin son quota de bastons. C'est un peu anarchique à cause du comportement ambigüe des jeunes Predators (expliqué dans le résumé de première page), mais on voit enfin quelques affrontements aussi courts qu'intenses. Randy Stradley nous sort encore de sa manche un passage important dans le déroulement de l'intrigue. La séquence ou l'infirmière se fait attaquer permet enfin de mettre au premier plan le leader Predator et de redistribuer les cartes. On se doute du coup d'une partie de l'épisode final malgré la tentative de cliffhanger de l'auteur.
Intéressant de voir aussi l'évolution de la femme qui sert personnage principal à l'histoire. C’est montré parfois de façon un peu abrupte et limite maladroit, sauf que l'auteur prend des risques, et les assumes.
Mais le tout reste efficace, ou comment faire du bon avec du classique et quasi-convenue.