B.D. meurtres est un album assez faible, les auteurs recyclent tous les ingrédients de la série à l'univers du 9ème Art, c'est dommage aussi que Ric Hochet n'arrive que dans les dernières pages au festival d'Angoulême alors qu'il aurait été peut-être plus judicieux de faire dérouler l'ensemble de cette enquête durant ce fameux festival.
Le final est l'un des moins réussi de la série, Tibet (le dessinateur) et Duchâteau (le scénariste) sont croqués en incarnant leur propre "rôle".
A la fin Ric dit que les auteurs eux-mêmes trouvent cette histoire trop farfelue pour en faire un album...une sorte d'aveu des auteurs de la faiblesse de ce tome 62.
Le commissaire Bourdon est cloué au lit et son adjoint Ledru le remplace, bizarrement c'est le seul personnage de la série qui a vieilli.