Comme dit dans l’introduction, Big K. nous raconte l’histoire d’un des hommes de main les plus sanguinaire que la Mafia new-yorkaise employait dans les années 70. Alors même si l’histoire est « librement inspirée de », elle nous promet une plongée dans les méandres d’un cerveau rendu malade par les aléas que la vie a mis sur le chemin de Richard lorsqu’il était enfant (entre un père violent qui tua son frère devant ses yeux, lui tuant son père ou encore sa froide vengeance suite à un match de base-ball dans lequel il fut ridiculisé par une connaissance).
Graphiquement assez réaliste, le travail de Duchêne aide parfaitement à rendre ce monde de violence et sans remords que K. s’est construit autour de lui tout en faisant attention à protéger sa famille (même s’il suit un peu les traces de son père).
Big K. est finalement un bon thriller biographique d’un tueur au sang froid qui fit son trou dans les sphères de la Mafia de Big Apple.
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