10
Excellent
Tout est parfait dans cette bd: le scénario (merci Peeters), le dessin, les résonances avec la vraie ville de Bruxelles, les personnages... C'est un des meilleurs tomes de la série des Cités Obscures...
Par
le 14 nov. 2010
4 j'aime
L'évolution des fous
Décevant.
L'univers présenté est très intéressant. Mais l'intrigue est assez répétitive, peu développée, peu nourrie. On s'ennuie donc un peu malgré de bonnes idées. Le personnage principal est faiblement développé, on s'en ennuie vite, et les secondaires sont trop peu présents et peu creusés, ce qui rend les interactions assez vite lassantes. Mais bon ça se lit quand même et puis on sent toujours cette envie de nous parler d'un monde à la dérive. Mais je regrette qu'à chaque album les auteurs partent dans une nouvelle direction, qu'ils ne parviennent pas à créer de vrais liens solides entre les albums.
Le graphisme est toujours aussi plaisant ; Schuiten se fait plaisir ici avec de belles couleurs. Les dessins sont plus réalistes qu'auparavant, on retrouve assez peu les maladresses du début et les visages froids et déformés. Les cadrages sont bien composés, les pages bien remplies avec un sens de lecture agréable.
Bref, c'est sympa à lire mais j'en espérais plus au vu du début assez fort.
6
Écrit par
Créée
le 20 sept. 2018
Critique lue 185 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Brüsel - Les Cités obscures, tome 5
8
Critique de Brüsel - Les Cités obscures, tome 5 par MrBungle
Effrayant. Voilà comment je résumerais cette bande dessinée en un mot. François Schuiten est un dessinateur que j'admire énormément. Pour la qualité de son dessin d'abord, puis pour la cohérence de...
Par
le 15 oct. 2010
3 j'aime
6
L'évolution des fous
Décevant. L'univers présenté est très intéressant. Mais l'intrigue est assez répétitive, peu développée, peu nourrie. On s'ennuie donc un peu malgré de bonnes idées. Le personnage principal est...
Par
le 20 sept. 2018
1 j'aime
Du même critique
5
Django in White Hell
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
10
Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
120 j'aime
45
5
Critique de Taxi Driver par Fatpooper
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
107 j'aime
55
