Sympatoche pour la jeunesse.
Bon, il faut avaler que 3 gamins forment une cellule de la Résistance et qu'absolument personne ne s'en doute mais ça fait partie de la suspension d'incrédulité qu'il faut pour lire cette...
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le 16 mars 2020
BD franco-belge de Vincent Lodewick (Dugomier) et Benoît Ers (2020)
BD que je continue à suivre dès sa sortie, ce sixième tome des Enfants de la Résistance conserve de la qualité même si cet album m'a semblé un peu différent des précédents.
Je ne reviendrai pas sur la qualité des dessins, fidèle aux autres albums, mais plus sur l'histoire. Les auteurs parviennent à nous faire ressentir que nous sommes en plein milieu du conflit, que l'Ouest est sous le joug nazi avec un quotidien de vie qui me semble assez ralenti. Sur le front de l'Est, cela va mal pour l'Allemagne puisque les premières défaites arrivent et Stalingrad marque un tournant important dans ce conflit.
En France, les trois enfants resserrent leurs liens et s'avouent certaines choses. La relation amoureuse entre l'un des personnages masculins avec la jeune fille est déclarée au troisième larron. L'Allemagne recrute désormais des jeunes français pour aller travailler dans les usines allemandes. La résistance continue son boulot et les Nazis tentent tant bien que mal de la juguler avec l'aide de la police d'occupation.
Certains passages m'ont rappelé des moments d'albums précédents. Par moment, les auteurs m'ont semblé un peu répétitifs et légèrement à court d'idées. J'espère que cela ne prendra pas de l'ampleur dans les albums suivants.
Celui-ci reste quand même un moment de qualité, donnant aux enfants et adolescents une idée de ce que devait être la vie en 1943.
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Créée
le 14 mars 2020
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