L'Exécuteur des ténèbres est un album tout à fait correct de la série, à l'aube des années 90 Ric Hochet a la même allure et le même look depuis quelques années. Les nouvelles technologies ne semblent pas être vraiment la priorité des auteurs qui semblent garder le cap sous une certaine forme de récit.
La couverture n'est pas la plus attirante de la série, bien qu'elle puisse intriguer. Cela débute bien, notre héros journaliste est victime d'un cambriolage à domicile ; en fait il s'agit de son père qui avec un complice simulent de faux délits juste pour garder la forme et ne pas s'ennuyer. Ils font partie d'un club composé d'anciens hors-la-loi, or un étrange personnage qui semble être un rédempteur ne voit pas cela d'un bon œil et ne croît en leur repenti.
Ce tome 49 est comme souvent dans cette longue série, agréable à lire bien que comme le précédent album l'intrigue faiblit un peu en cours de route, et que cela se termine avec une conclusion un peu vite expédiée dans les 2 dernières pages.