Par hasard, Ric Hochet retrouve un ami d'enfance connu en pensionnat, un bon ami mais un sacré poissard qui va aussi porter malheur à notre journaliste.
Mais cela n'est pas trop gênant car Ric adore l'aventure et rétablir l'ordre.
Si les 3, 4 premières pages de L'Homme qui portait malheur ne sont pas très prenantes heureusement que cela va rapidement changer, les auteurs Tibet et Duchâteau nous offre un récit dynamique, durant lequel Ric aura l'occasion de mettre en avant ses aptitudes physiques et sportives.
Dans cette histoire, il sera particulièrement touché et va même faire preuve de plus violence que d'ordinaire
son ami est tué, et il désire le venger quitte à sortir des clous.
C'est un bon album, sans être parmi les meilleurs de la série, ce tome 20 se lit avec plaisir et sans ennui.