Jamais je n'ai vu une œuvre aussi puissante.
Une tradition tourne court avec le principe même de la dialectique, deux dimensions de personnalités qui ne peuvent coexister tout en voulant rester amis parce qu'ils sont des individus avant d'êtres des systèmes.
Rapidement, l'un d'eux va devoir réaliser ce pourquoi il est fait en influençant le village : en revenant, la réalité est écrasante, il faut réformer la société.
Mais le cœur des nameks habitués à la paix ne peuvent changer malgré les menaces, c'est dans leur constitution.
Arrive un génocide inévitable pour cette race incapable de s'adapter, tous les habitants donneront leur vie sans hésiter pour faire la synthèse de leur apprentissage.
Un être seul se dresse sur les ruines d'un monde qu'il a quitté spirituellement, pendant qu'un autre devra se construire sans aucun lien ou accueil avec celui qu'il trouvera.
Se reconstruire sur base de tout ou se construire sur base de rien : devenir chef ou devenir Dieu.
Celui-ci vient forcément d'un monde lointain, un monde tellement supérieur que apparaitre dans le monde des hommes lui donnent forcément des droits divins.
Malheureusement, le plus sage des hommes remarque qu'il est atteint d'un vice qui n'est pas propre à son être. Il ne peut s'en débarrasser par la force de l'esprit : la conséquence des germes les plus bas sur un être céleste.
Par l'énergie universelle, il décide de créer le mal et de s'en débarrasser. Fatalement, intrinsèque à cette espèce terrestre, le malin trouve toujours une manière de revenir dans le temps.
Il achève l'ancien monde en donnant un naissance à un nouveau, celui des guerriers au potentiel et à la détermination illimité.
L'évolution provient forcément d'ailleurs, le mauvais laisse juste le temps au bon de l'éprouver, dans une constante synthèse de l'esprit de l'univers.