Meilleur que le précédent, on a quand même encore un peu de mal à réellement accrocher. L’intérêt principal de cet album est de faire de Clark Kent le personnage central (plutôt que Superman j’entends) en le magnificiant par son absence. On réalise à quel point l’alter-ego de Kal-El est primordial dans la définition de Superman. C’est ce qu’on retiendra essentiellement de ce tome. Quelques pistes abordées sont intéressantes, les combats sont épiques et dantesque, mais on n’adhère pas vraiment. Il y a cependant cet humour propre au personnage, ainsi qu’une petite apparition de Batou. En progrès donc, même s’il reste encore pas mal de travail à faire pour vraiment me captiver.