Resté sur ma faim, disclaimer oblige je pense être de base difficile à embarquer sur un format court sur lequel je trouve très compliqué d’être percutant, d’introduire, de dérouler et de conclure sans avoir l’impression de survoler le récit. Ce qui a été le cas ici.
La redondance des situations n’a en plus pas aidé, pas dans le folklore qui est très différent d’une histoire à l’autre, mais mine de rien dans cette compilation on enchaîne les légendes locales de monstres, le racisme, les zombies, les bully. Pas très original dans le grand spectre de l’original. C’est peut être le sujet même des Doggybags qui est voué à la répétition (ou la ressemblance). Les univers visuels sont eux toujours très cools et variés !