Critique écrite pour certains numéros (en l’occurrence le #3, le #10, le #11, et le #12 : oui, c'est bizarre, mais quand on manque de temps, on ne peut pas écrire une critique par numéro) .
Ma note pour chaque numéro :

• #1 : 6


• #2 : 7


• #3 : 6


• #4 : 6


• #5 : 6


• #6 : 6


• #7 : 6


• #8 : 7


• #9 : 7


• #10 : 7


• #11 : 5


• #12 : 6


• #13 & #14 : 6


• #15 : 6


• #16 : 7


• #17 : 6

3 : Et bien, en 3 numéros, la série Avengers World ne m'aura guère impressionné. Après un premier numéro hyper introductif, un second centré sur Smasher plus intéressant, mais toujours pas excellent, ce 3ème numéro prend le pari de nous raconter une baston avec Shang-Shi...sur tout le numéro. Ok, c'est hyper bien dessiné par Stefano Caselli (ce qui me fait penser que ce type mérite clairement de dessiner une série régulière plus importante...) , bien mis en scène, mais le problème, c'est qu'à la fin du numéro, on se dit : « c'est tout ? » . D'autant plus que la série nous raconte plein d'intrigue en même temps, et on se dit que ça va sans doute être chaud à suivre si certains numéros sont juste là comme ça sans réellement en faire avancer l'une ou l'autre. Bref, au moins, c'est une série bien dessinée, et c'est déjà ça, mais c'est dommage que l'histoire parte tant que ça dans trop de directions en même temps, ce qui est du coup pas évident à suivre pour le lecteur.

10 & #11 : Numéro #10 toujours assez réussi, avec une intrigue qui prend de plus en plus d'ampleur, ce qui est toujours sympa dans cette série qui reste très secondaire par rapport aux autres titres Avengers. Au final, Nick Spencer fait une intrigue très sympa dans laquelle les héros doivent faire face à des menaces sur de multiples fronts, et c'est vraiment très cool, même si j'ai tendance à oublier certains éléments des numéros précédents. De toutes façon, la qualité des dessins de Marco Checchetto fait que aussi léger que soit le scénar, ça reste super plaisant à lire. Par contre, le #11 n'a pas la chance d'être illustré par un dessinateur du même calibre : en effet, Raffaele Ineco ruine complètement la série qui n'était pas forcément exceptionnelle, et la transforme en série sans aucune importance, avec des dessins moisis qui ne donnent pas du tout envie de suivre la série.

12 : Avengers World reste agréable à lire, surtout pour les dessins de Marco Chechetto, particulièrement balaise sur cette série. Par contre, Spencer aurait pu éviter de faire un simple numéro de présentation d'Euroforce, avec 1 perso = 1 page + 1 double splash (et avec à chaque fois une pub toutes les 2 pages, merci Panini ou Marvel) . Bref, rien de mémorable mais visuellement, ça tue.

13 & #14 : Épisodes de conclusion pour ce long arc d'Avengers World, et ce n'était pas particulièrement palpitant : un épisode avant la fin, Spencer nous refait la présentation d'une équipe de personnage, avant de précipiter la fin dans le dernier numéro. En plus, il faut se payer Raffaele Ienco au dessin du #13... Au moins Chechetto revient pour la conclusion, mais les derniers épisodes de cet arc de Nick Spencer sont loin d'être mémorable.

15 : Petit épisode d'Avengers World tie-in à Axis, dans lequel Valeria Richards recrute une équipe, pour aider Doom à combattre Scarlet Witch. C'est pas fou, mais ça me fait plaisir de revoir Elsa Bloodstone, et puis y a Marco Chechetto aux dessins, donc c'est cool.

17 : Episode qui essaie de faire le pont entre l'univers Marvel actuel et le statu quo de Time Runs Out, et ce n'est franchement pas génial. J'avoue n'avoir trouver aucun intérêt à cet épisode (en même temps, ce n'est qu'une série complémentaire sans réel intérêt...) ; au moins, c'est superbe.