Quand Matz, le père des séries Le Tueur et Mexicana et de l’adaptation du Dahlia Noir, décide d’adapter, avec une excellent Jeb aux dessins, un scénario du père d’entre-autre 48h et Alien, Walter Hill ça donne une histoire bien balancée et plein de rythme mêlant flingues, argent, femmes et flics pourris bref, tous les ingrédients d’un film de gangster des années 30 durant la prohibition.
Pour vous dire je n’ai pas vu passer le temps durant la lecture des 128 pages que compte « Balles perdues » et l’investissement vaut vraiment la peine d’être fait si vous aimez les histoires de gangsters et tueurs à gages !
Lire sur le blog