Bastard.
Cette oeuvre traite de la famille. d'amitié. Elle traite de tout ce dont on a l'habitude.
Mais ce n'est pas du tout comme d'habitude.
L'oeuvre ne présente plus les conflits familiaux que l'on peut résoudre. Il n'aborde pas la résolutions de nos problèmes de communications, du surpassement de nos peurs. Ici la peur est nécessaire. La communication souvent impossible. La résolution de certain problème ne semble pouvoir prendre que des chemins funeste.
Car ici, on traite de la famille en montrant ce qu'elle n'est pas. On la déforme jusqu'à ce qu'il n'y ai plus rien que l'horreur, le désespoirs, et la colère. C'est une oeuvre qui m'a fait frémir, parfois repoussé. Mais même si l'angle choisi, le point de départs, est pessimiste, cette oeuvre abordes a sa façon, et de façon juste un grand nombre de sujet.
Le tout avec un graphisme sans grande prétention, mais agréable. Un rythme assez lent, mais jamais ennuyeux. Et une tension continue, palpable.
Si on ne s'attache pas a tout les personnages, on ne peut que s’intéresser tout du moins a eux, a leurs motivations, a leurs travers. A leurs vision , souvent déformé, du monde.