Acheté parce que le résumé, mais surtout la couverture m’intriguaient, Bedlam est, pour moi, un réel OVNI dans mes récentes lectures genre un truc qui pourrait ressembler à une histoire de Batman avec Madder Red dans le rôle d’un Joker (avec lequel il partage le statut de criminel psychopathe) qui se serait fait soigner et The First qui incarnerait le rôle du justicier masqué de noir, mais avec plus de sang, de sadisme et de violence que ce que les auteurs des histoires de Batman ne peuvent se permettre.
Parce que oui, Bedlam n’est pas un comics à mettre entre les mains des plus jeunes tant la violence y est présente et le rouge omniprésent dans les dessins est toujours présent pour faire le lien avec le passé d’un Filmore qui même si il a été soigné et s’est repenti de ses crimes passés n’est, à mon avis, pas loin de pouvoir retomber dans ses déviances sanguinaires…
J’ai vraiment adoré lire ce premier tome et vais foncer acheter le second dès que j’aurai fini la pile des albums que je dois encore finir, mais j’ai un seul regret par rapport à l’histoire, c’est qu’elle ne présente pas assez le passé de criminel psychopathe de Madder Red et sa lutte contre The First. J’espère qu’un tome 0 ou des préquelles verront un jour le jour (mais ça, c’est mon côté psychopathe qui parle ^^).
Lire la chronique sur le blog >