Critique de Berserk, tome 8
L'aboutissement de plusieurs chapitres d'intrigues politiques, de rivalités personnelles, de sentiments ambivalents, le tout sublimement dessiné. Les combats servent le récit sans l'alourdir...
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Final de la guerre du Midland dans une bataille à la stratégie novatrice et au dessins violents. On sera d'ailleurs heureux d'avoir revu Zodd qui en plus de s'offrir le rôle de Deus Ex Machina se découvre un rôle de protecteur à l'égard du porteur du Béhelith
Les intrigues de cour reprennent d'autant plus lors du summum de l'apogée de Griffith lorsque ses derniers opposants meurent de façon magistrale et que ses alliés lui deviennent plus soumis que jamais.
Ce tome aura permit d'exprimer toute la grandeur intellectuelle du faucon blanc à travers ses divers stratagèmes et sa victoire totale sur tous les plans. Les dessins sont d'ailleurs magnifiques lors du bal de la nomination de la troupe du faucon après des fresques sublimes de réalisme et de grandeur sur des châteaux d'époques.
On remarquera que la seule défaite de Griffith se fera sur le point de vue personnel où il perdra son commandant et ami de toujours, dans un duel aussi court que professionnel. Prouvant une nouvelle fois l'évolution des personnages à travers l'œuvre, notamment en approfondissant des personnages qui étaient jusqu'à la seulement des archétypes tel que la famille royale ou le génialissime secrétaire Foch.
Il s'agira du premier tome qui annoncera la descente toujours plus brutale et vicieuse du faucon qui prend ici ses racines.
Créée
le 14 juin 2019
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