Sombre
Fred Duval et Corentin Rouge retracent la carrière de Calvin Wax n°II de la conjuration des XX. Cet épisode est sombre, manipulations et meurtres sont au programme. L'intrigue s'insère habilement...
le 3 juin 2017
La série XIII Mystery est une idée très, très intéressante, de BD collatérale au célébrissime XIII (nettement plus attrayante que les dérivées de Thorgal, par exemple). 1er intérêt est que les auteurs (scénariste/dessinateur) sont à chaque différents et que les "biographies" peuvent être lues indépendamment les unes des autres (même s'il y a des liens) et qu'à la limite elles peuvent aussi être lues indépendamment du thème principal. Différents auteurs, donc qualité différente aussi. Pour ma part j'ai bien aimé ce "Calvin Wax", raciste et xénophobe et politiquement intrigant jusqu'à favoriser la victoire des Démocrates pour mieux les abattre. A côté de cela, l'album sort - tout à fait par hasard - juste au moment où les Etats-Unis versent dans un probable chaos ! Donald Trump serait-il le numéro I ?
Créée
le 12 nov. 2016
Critique lue 204 fois
D'autres avis sur Calvin Wax - XIII Mystery, tome 10
Fred Duval et Corentin Rouge retracent la carrière de Calvin Wax n°II de la conjuration des XX. Cet épisode est sombre, manipulations et meurtres sont au programme. L'intrigue s'insère habilement...
le 3 juin 2017
La série XIII Mystery est une idée très, très intéressante, de BD collatérale au célébrissime XIII (nettement plus attrayante que les dérivées de Thorgal, par exemple). 1er intérêt est que les...
Par
le 12 nov. 2016
Du même critique
Depuis la mort d'Edgar P Jacobs, les repreneurs ont un forte tendance d'une part à concentrer les aventures sur le seul Mortimer, laissant à Blake un rôle de faire-valoir, et d'autre part à chercher...
Par
le 5 déc. 2016
3 j'aime
L'album qu'on n'attendait plus, 13 ans après le premier tome et le décès d'Edgar P. Jacobs, voici Bob De Moor qui termine l'aventure, intitulée "Mortimer contre Mortimer". Décevant, mais nécessaire,...
Par
le 11 nov. 2016
3 j'aime
1
Cet Hiver de Clown est l'un de mes albums préférés de Jeremiah, et pourtant Kurdy, son truculent faire-valoir, est absent. Un Jeremiah sans Kurdy, c'est un peu comme Tintin sans le Capitaine...
Par
le 19 août 2017
2 j'aime