« Le Tueur, volume 9, concurrence déloyale » donne très nettement peut-être pour la première fois l'impression que le Tueur tourne en rond et que le talentueux duo Jacamon/Matz recycle ses vieilles recettes : exotisme, violence par le biais d'assassinats spectaculaires de riches occidentaux forcément hypocrites et corrompus.
Les longs monologues politico-nihilistes justifiant le plus basique appât du gain paraissent de plus en plus bancals, surtout lorsqu'on découvre que notre héros va se lancer/ranger dans les « affaires » avec l'argent du pétrole et du narco-trafic.
Reste la beauté du graphisme toujours irréprochable mais cela risque de faire bien léger si l'histoire ne retrouve pas un nouveau souffle !
Critiquecompleteici