De l'avant - Flash, tome 1 par floflow

Cette critique est écrite numéro par numéro. Elle sera donc actualisée au fur et à mesure de mes lectures des numéros. La critique commence au numéro #10. (j'avais pas écrit pour les 9 premiers)

Ma note, numéro par numéro
#1 : 7
#2 : 7
#3 : 7
#4 : 7
#5 : 6
#6 : 7
#7 : 6
#8 : 7
#9 : 7
#10 : 6
#11 : 6
#12 : 7
Annual #1 : 5
#0 : 7
#13 : 7
#14 : 6
#15 : 5
#16 : 7
#17 : 7

#10 : Tiens, ça faisait longtemps que je n'avais pas chroniqué du Flash dans mes listes...Bref, après le numéro précédent, Barry Allen est de retour sur Terre, et doit sauver Patty Spivot...Oui, visiblement, il n'a rien à foutre du cliff de fin du numéro 9...En tout cas, c'est toujours sympa à lire, même si on sent que ça va un peu nul part, surtout qu'on suit un Flash un peu vide, et le titre bénéficie d'une ambiance un peu niaise...Sinon, aux dessins, on a Marcus To pour remplacer Manapul, et son style est dans le même genre, donc ça fonctionne pas mal. De plus, les couleurs de Buccellato et de Ian Herring sont très sympas. Bref, un numéro toujours sympa, surtout pour les dessins, mais on regrette l'ambiance un peu trop niaise...

#11 : Comme pour le précédent numéro, on se demande où Buccellato veut en venir avec le retour des Rogues, et ce nouveau départ pour Barry Allen à Keystone City. Bon, c'était pas complètement péteux, la séquence dans le bar était plutôt sympa, et la partie graphique, assurée par Marcus To, qui remplace Manapul encore une fois, fonctionne correctement. Seulement, et bien, Barry Allen continue de faire son niaiseu, et est assez chiant à lire. Bref, je continue jusqu'à la fin de l'arc, pour voir si ça s'améliore par la suite, mais là encore, je comprend que la série ne soit pas édité par Urban, son seul atout étant les dessins de Manapul.

#12 : Numéro intéressant ce mois-ci : déjà, Manapul est de retour au dessin, et il est toujours aussi bon ! Séquences dynamiques, splash-pages qui défoncent visuellement. En tout cas, s'il y a un intérêt à lire cette série, c'est vraiment pour ça. Sinon, Buccellato continue son intrigue sur le retour des Rogues, et il faut reconnaître que ça se laisse lire tranquillement, et qu'on a bien envie de voir la suite, surtout que la dynamique de groupe qu'il installe entre les Rogues est bien chouette. Voilà, donc, la série est toujours sympa, même si c'est pas non plus ce qu'il y a de plus intéressant à se mettre sous la dent.

Annual #1 : Numéro de conclusion pour l'arc qui voit le retour des Rogues...Et déjà, force est de constater qu'après un retour sur un numéro, Manapul repart en pause, et du coup on se tape cinq dessinateurs différents...Et ça ruine pas mal l'unité graphique, vu qu'ils sont plus ou moins bon...Marcus To et Scott Kolins passent encore, mais le reste, et bien, c'est assez moyen...Et le pire, c'est que l'intrigue n'est absolument pas passionnante, et on s’ennuie très vite à la lecture du numéro. Le côté dramatique de l'histoire des Rogues semble en faire beaucoup trop, et même le passé du Barry Allen n'a pas grand intérêt... Le combat final débouche sur un twist qui donne quand même envie de s'intéresser à la suite, mais on a pas non plus l'impression que le numéro conclue l'arc. (en fait, le twist de fin annonce l'arc suivant.) Bref, pas la lecture du moment.

#0 : Avec Manapul et Buccellato aux commandes de la série consacrée au bolide écarlate, on alterne vraiment le correct avec le tout juste passable, voire bof. À l'inverse du premier annual qui donnait envie d'arrêter la série, ce numéro 0 qui revient sur les origines de Barry Allen est vraiment sympathique. Cet épisode qui permet de mettre au clair son passé est vraiment intéressant, et on apprécie découvrir ses relations avec ses parents, et le lien que cela a avec le fait qu'il soit devenu super-héros plus tard. L'autre bon point, c'est évidemment la partie graphique, toujours très réussie par un Manapul en grande forme. Bref, épisode très sympa, même si la série alterne les bons et les moins bons moments, mais l'aspect visuel n'est au moins pas délaissé, et l'épisode plutôt réussi, du coup, j'ai quand même envie de voir la suite...

#13 : Ce treizième numéro est pour Flash l'occasion de commencer un nouvel arc dans sa série, et la menace est de taille, puisqu'on parle de Gorilla Grodd, introduit il y a quelque numéros de cela. Le numéro est sympathique, pas forcément extraordinaire, mais a des bagarres sympas, surtout que dans ce domaine, Manapul fait vraiment très bien le job. Après, ça promet d'être assez lent, un peu comme pour le premier arc. Sinon, ça se lit quand même bien, c'est toujours pas la lecture du moment, et j'ai du mal avec le fait que Barry Allen est considéré comme mort depuis quelques numéros, et un passage plutôt violent m'a paru vraiment improbable à son arrivée, et plutôt malvenu dans une série de super-héros qui jusque-là n'avait pas fait intervenir ce genre de truc. Bref, c'est sympa.

#14 : Deuxième partie de Gorilla Warfare, et le résultat est quelque peu mitigé en ce qui me concerne. Visuellement, c'est hyper réussi, Manapul envoie des planches classes accompagnées de cases super dynamiques. Seulement, côté scénar, c'est assez lent, et on s'attarde pas mal sur des personnages dont on a plus grand chose à faire de leur devenir (je crois que je n'ai plus rien à foutre d'Iris West... Et même, Daniel West qui se ramène depuis l'épisode précédent il me semble est pas spécialement dingue de charisme) , ce qui fait quand même une faiblesse de cette série pour le coup...Dommage.

#15 : La série The Flash par Francis Manapul et Brian Buccellato n'est vraiment pas mauvaise... Malheureusement, derrière une partie graphique quasiment irréprochables, la mise en page, le dessin et la colorisation étant tout bonnement excellent dans la plupart des numéros, le scénario et l'intrigue sont particulièrement lassant à lire. L'intrigue avance à deux à l'heure (alors qu'on est dans The Flash, merde!) , surtout dans cet arc Gorilla Warfare (le premier arc était quand même pas mal, le second beaucoup moins...) , qui trouve le moyen de nous offrir un numéro dans lequel il ne se passe presque rien... Et les personnages ne sont pas spécialement attachant, on nous impose Turbine qui ne sert à rien, et Gorilla Grodd peine à être convaincant en tant que menace dans cet arc... Et je ne parle pas de Daniel West... Bref, des personnages pas spécialement bien exploités, et un scénar qui ne passionne pas. Sur cet épisode, on se paie Marcus To au dessin ; c'est pas mauvais, mais les décors sont pas super travaillés et ça vaut clairement pas Manapul qui s'est déchaîné sur les dernières pages, avec des splash d'une beauté absolument incroyable.

#16 : Mais c'est quoi ce délire ? L'épisode #15 était chiant, et là, paf, un des meilleurs épisodes de l'arc ! Non en plus c'est sublime, mais l'intrigue bouge un peu ! Après, c'est pas des masses géniale, mais c'est bien mieux que l'épisode précédent. Bref, pas la série la plus folle des New 52, je termine cet arc, et je vais de suite me tester les premiers numéros de Venditti et Jensen.

#17 : Conclusion de Gorilla Warfare dans cet épisode. L'arc aura été un peu lent, mais les deux derniers numéros rattrapaient assez bien ce qui avait merdé... Bref, vraiment peu de choses à dire, mais on regrette en tout cas que les personnages secondaires ne soient que trop peu développés, cela en fait une faiblesse, à côté d'intrigues sympathiques (tout au plus, parfois c'est un peu saoulant) et de merveilleux dessins ainsi que d'une excellente colorisation. Voilà ce que l'on peut sans doute dire de cette série en générale. Dommage.