Voilà longtemps que la série a perdu son humour décalé et son originalité, ses dialogues drôles et ciselés entre Blutch et Chesterfield…
Alors, qu’est-ce qu’il reste ?
La nostalgie, d’un côté, le plaisir de retrouver les personnages – et ici, on en retrouve même des anciens.
Le côté historique vrai de l’autre, nous faire découvrir des choses qui ont existé à l’époque.
Mais je n’ai pas été emporté par la folie dynamique des vingt ou trente premiers tomes.
La qualité du dessin est toujours là et c’est sympa de se plonger dedans mais sans procurer les émotions d’antan – sans savoir si c’est la série ou moi qui a vieilli et devrait arrêter…