L’avoir vu et entendu partout m’a donné beaucoup d’espoir sur la trame de l’histoire. Mais mieux vaut savoir prendre du recul à tout prix pour aimer le contenu d’une oeuvre. Pour beaucoup de blogueurs c’est une pépite. Ce ne fut pas mon cas (pas totalement).
Pour autant, je conseille à tout le monde cette BD. Avec ses planches magnifiques et bien définies, elle contraste avec le récit. Sans doute plus sombre dans les prochains tomes. (que je vais dévorer sans plus tarder!) Au fil des pages on voit bien que le plus gros point positif est justement l’artiste et tout sont travail pour rendre l’histoire encore plus belle qu’elle ne l’est déjà. Bref, que ce soit les couleurs ou les traits de l’artiste, tout est divinement bien fait. (C’est un ouiiii pour moi)
De ce fait, dire que c’est une oeuvre que je déteste ou n’aime pas serait mentir. Et dire que c’est une pépite, serait -pour moi- exagéré. Mon véritable problème -ce n’en est pas vraiment un- est la rapidité du tome 1. Et le peu de pages, 70 environ. Ce qui est très peu pour moi, ayant l’habitude des énormes bd (genre 150 pages).
Et puis le personnage de Lya est l’un des plus attachants, la seule d’ailleurs, non pas pour son passé (bien que ça joue) mais pour son caractère de femme entreprenante en quête de vérité. Un trait de caractère que j’apprécie beaucoup pour des personnages mais trêve de blabla. Ici Lya mise à part le fait qu’elle soit au taquer pour découvrir la vérité, son personnage « manque de saveur » sur certains points. D’autant que pour ce qui est des autres personnages, ils sont là, importants dans la quête de vérité de Lya, mais peu importants pour moi d’une certaine manière. Facile d’oublier les noms.