En tout cas les gens qui ont ce genre de regard autour de l'action me font penser à ceux qui lisaient Fairy Tail à l'époque.
Pourquoi ca a marché cette daube intersidérale ? Et bien ca va être plus facile de comprendre pourquoi les gens font des bains de merde pour s'habituer à leur vie car j'ai aimé ce manga au moins jusqu'à l'ellipse du milieu.
Aaaahhh l'adolescence, concept incroyable ou on aime tout et on a surtout la capacité d'atteindre l'amour de tout.
Aimer en soi, l'amour de tout, du risque, de se perdre soi dans de multiples expériences.
Seul moment ou ca arrive car on est toujours bloqué et on aimerait être libre dans ce cas on va singer cette possibilité en ramenant tout à soi par le sentiment le plus puissant d'attirance et d'attraction.
Si j'ai aimé Fairy Tail pendant si longtemps alors que ca ne montrait pas grand chose, sans se perdre encore trop vulgairement dans des considérations de perte de contrôle de soi diverses et variés, c'est parce que justement ca gardait une grande structure éculée que l'on pouvait considérée à notre propre sauce car celle présentée était bien fade sans être encore immangeable.
Les guildes magies je n'en avais jamais été dégoutées, n'ayant joué à aucun MMORPG type WOW ou RPG tout court.
Je découvrais ce grossier world-building par quelque chose qui était fier de se présenter ainsi.
Il n'y avait pas de problème entre ma conscience et mon corps dans l'assimilation de toutes ces choses en soi.
Je suivais un petit chariot d'aventuriers simplets dans toutes les considérations données la première à mon jeune âge.
Les aventures n'allaient jamais loin mais ce n'est pas tant ce qu'on lui demandait.
Le sens de tout ca c'est la seule chose qui pointait à l'esprit des plus demandant.
Mais chacun appréciait quand même la rencontre de mondes divers et variés avec sa population et ses intrigues ajoutant de légères élargissement dans les possibilités d'explorations sous toutes ses formes qu'offraient la réalité de chacun.
Avec des pauses de combats toujours en groupe, toujours le shonen le plus soudé par le pouvoir de l'amitié, celui où toute l'équipe fait le plus un en trouvant directement son adversaire propre.
Le défaut de l'indifférenciation trouve sa qualité dans la simplicité d'un monde qui l'est proportionnellement à ses protagonistes.
Un peu comme une osmose ou chaque granulé aurait accepté sa saveur propre pour donner.... le yaourt le plus onctueux, sans plus.
Puis
Après
Ca explose de partout.