1 an avant Deadly Class, Five weapons racontait l’arrivée d’un jeune dans une école pour assssin. Mais là ou l’oeuvre de Remender et Craig est un récit punk, sombre et violent, Five weapons propose quelque chose d’accès humour et loufoque.
Malheureusement, Robinson peine à faire rire. Les dialogues tombent à plat, la sauce ne prend pas et j’ai refermé ce tome sans spécialement avoir envie de lire la suite.
Graphiquement, c’est un peu comme le scénario, un dessin japonisant et dynamique mais trop maladroit pour rattraper les lacunes du scénario.