Une fin à la hauteur de la série. Pas de discours lénifiant, juste une super fin.
Je suis dans la position désagréable du lecteur qui vient de lâcher le dernier tome d'une série qui l'a touché. J'ai une impression de vide. Ce vide je le comble avec cette satisfaction d'avoir suivi une aventure hors norme. Hiromu Arakawa aime son métier et ça se sent bien, surtout dans son cadeau d'outre-fin : un prologue ! Ça paraît désuet et commun, certes. Ça ne l'est pas du tout. Je prends plutôt ce prologue comme un signe de la main de l'auteur pour nous dire au revoir, et pas adieux.