Ce tome est une véritable descente aux Enfers pour l'ami Constantine. Sauf que la cause deses malheurs n'a que bien peu à voir avec les démons et autres charmantes créatures maléfiques. Ici, les personnes les plus à craindre semblent bien être les humains.
Un tome sombre, violent et désenchanté qui laisse donc peu de répit au héros et au lecteur. C'est aussi le début du duo Ennis/Dillon qui donne à ce recueil un sacré goût de Preacher auxquels les auteurs donneront naissance quelques années plus tard.
Une lecture misanthrope vivement recommandée.