Insipide et moche...
Ne nous y trompons pas ! Si nous avons, ici, le premier tome de Wonder Woman, Déesse de la Guerre, par le couple Finch, il s’agit, purement et simplement du septième tome de la série. Le sixième...
le 25 mai 2017
Diana, membre de la Justice League, déesse de la guerre et reine des Amazones, est en proie à de nombreuses difficultés. Elle est partagée entre son peuple, les Amazones, et le monde des hommes.
Wonder Woman est l'héroïne de son histoire. C'est son histoire. Batman, Superman, Flash, Aquaman et Cyborg restent en retrait. Ces membres de la Justice League lancent quelques répliques. Seuls Batman et Superman ont quelques cases de combat. La scénariste Meredith Finch a voulu apporter le minimum syndical et de fan service. Après tout, le lecteur s'intéresse seulement à l'histoire de Wonder Woman. C'est son combat pour son royaume et aussi pour la terre.
Les chapitres se lisent assez rapidement. David Finch s'occupe des dessins. Le coloriage et l’encrage sont parfaits.
Mais, j’ai encore dû mal avec certaines têtes des personnages ou du dynamisme des combats. Ces derniers manquent un peu de punch. Bien que les cases soient tracées dynamiquement, il manque des onomatopées pour signaler un contact physique. Ce n'est pas le cas. On ne ressent absolument pas la puissance des attaques. J'ai donc dû mal quand les Wonder Woman affronte un ennemi.
Pour ceux ou celle qui ne connaissent pas l'héroïne, un résumé et un descriptif des principaux intervenants sont affichés au début de l’histoire.
Comme dirait un protagoniste chez le concurrent, Marvel : "Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités." Diana doit faire face à ses démons. Diana ne peut pas se dédoubler à plusieurs endroits. Elle devra choisir entre son royaume et son travail en tant que membre de la Justice League. Tourmentée et agressive par moments, Wonder Woman peut devenir incontrôlable, dû à son statut de déesse de la guerre.
Quelques zones d'ombres ou clichés m'ont interpellé. Je vous le dis dans les spoilers.
Quelques éléments m'ont interpellé comme le sempiternel cliché du bus scolaire en détresse sur un pont. Des zones d'ombre restent en suspens comme la sorcière aidant Derinoé. Malgré tout, DC nous offre un chapitre dessiné, par Goran Sudžuka, expliquant pourquoi Derinoé en veut tellement à Wonder Woman.
En terminant le tome, j'avais l'impression qu'il manquait quelque chose. Insurrection reste agréable à lire.
Créée
le 26 déc. 2016
Critique lue 222 fois
D'autres avis sur Insurrection - Wonder Woman : Déesse de la guerre, tome 1
Ne nous y trompons pas ! Si nous avons, ici, le premier tome de Wonder Woman, Déesse de la Guerre, par le couple Finch, il s’agit, purement et simplement du septième tome de la série. Le sixième...
le 25 mai 2017
Diana, membre de la Justice League, déesse de la guerre et reine des Amazones, est en proie à de nombreuses difficultés. Elle est partagée entre son peuple, les Amazones, et le monde des hommes...
Par
le 26 déc. 2016
Moi fan de DC je veux faire découvrir ma passion à ma soeur elle ne veut pas lire ni batman ni superman quoi de mieux que wonder woman pour commencer le personnage est interéssant et légendaire. les...
le 3 déc. 2016
Du même critique
Un nouveau film estampillé Netflix. Le titre m’avait interpellé à l’époque. Nous suivons donc les pas d’un écrivain, Sam. Il travaille sur l’histoire d’un assassin. Ce dernier aurait existé. Notre...
Par
le 19 déc. 2016
2 j'aime
1
Your Name, le nouveau film de Makoto Shinkai arrive quatre mois après sa sortie au Japon. On peut remercier Eurozoom d’avoir réussi à le distribuer rapidement dans les salles obscures françaises. On...
Par
le 31 déc. 2016
2 j'aime
3
Final Fantasy a toujours divisé. Ce nouvel opus, le 15e de sa génération, poursuit la tradition de ses aînés. On se rappelle encore le drama lors de la sortie des tests sur jeuxvideo.com, Gamekult et...
Par
le 6 janv. 2017
2 j'aime