Critique de Je me souviens : Beyrouth par cozan
De très jolis dessins en noir et blanc. L'auteur y raconte ses souvenirs d'enfance au Liban, à la manière de Georges Perec. Drôle et tragique à la fois.
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le 5 mai 2012
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le 5 mai 2012
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le 5 mai 2012
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