Une psychiatre bipolaire et instable se retrouve confronté à un crime…
C’est dur de suivre l’aventure d’un personnage détestable.
Quelle fume n’est pas un souci. Quelle téléphone comme ces connards qui le font via haut parleur non plus, qu’elle soit casse couille va avec les précédents, qu’elle soit arrogante, agressive etc … ne l’est pas plus, non c’est qui est détestable c’est qu’elle résolve une enquête aussi simple.
Je résume : les hommes sont soit des
phallocrates soit des faibles. L’un d’eux meurt il faut donc chercher vers un coupable qui aurait eu une bonne raison face à la personnalité du connard de mort et une position supérieure.
Ajouter à ça les fantômes féminins de la vie de l’héroïne qui la suivent et lui parlent et résolument victimes des hommes ( qui en sont morts)
J’adore ce dessinateur. Mais suivre les aventures d’une connasse c’était au dessus de mes faibles capacités.