Cette critique est un peu difficile à écrire pour moi, car contrairement à la plupart des œuvres : ou le but de mes notations est de déterminer la qualité objective de l'œuvre (selon moi). Par rapport à certain critères comme par exemple : le rythme, l’intérêt de se qu'on nous raconte, l'originalité, l'intelligence des propos ect....
Le problème avec L'enclave c'est que la première question qu'on ce pose n'est pas: "Qu'elle note mérite cette histoire ?" Mais: "Qu'elle est le sens de cette histoire ?"
Et que sans se fameux sens il sera bien difficile de parler objectivement de cette BD.
Je vais donc évacuer toute suite la partie facile à critiquer et m'atteler ensuite au scénario.
En ce qui concerne le dessin c'est magnifique Dumontheuil est vraiment fort pour dessiner les visages chacun de ses personnages est un Jim Carey en puissance. Ils ont tous des grimaces et mimiques magnifique sur la face dans chacune des case de la BD. Il a aussi un sacré don pour faire bouger notre point de vue entre chaque case (en cinéma on parlerai de mouvement de camera frénétique). Pour la couleur moi j'adore, je trouve ça magnifiquement vivant comparé au statique aplat de certaine autre BD. Par contre quelque page sont plus claire que d'autres: Dumontheuil s'est loupé, erreur d'impression, signification caché dans les couleurs ? Le mystère reste entier.
Le rythme est bon rien de particulier à dire à ce niveau la.
Maintenant le plus difficile: l'histoire.
Déjà on peux commencer par dire que si vous aimez "Qui a tué l'idiot" du même Dumontheuil vous devriez vous y retrouver avec "l'Enclave".
Autre oeuvre à laquelle je rapproche "L'enclave" c'est "The Maxx" que ce soit en BD ou en série.
Ce sont des œuvres qui n'apportent pas beaucoup de réponses mais qui posent beaucoup de questions.
Et je pense que la question principal posé par L'enclave est : "Que faire dans un monde absurde ?"
Puisque que les personnages sont amnésique (apparemment) ils s'inventent des passés plausibles.
Puisque se monde est vide ils veulent le remplir avec de la tragédie et propose donc que l'un tue l'autre. Le premier personnage s'est auto-convaincue qu'a force de courir c'était lui qui faisait tourner le monde sous ses pieds. Toute ces réflexions sont interrompu par des rencontres avec d'autre personnages extravagant comme par exemple : Le roi immobile, un tribunal, un "philosophe" sur ses toilettes ect....
Je vais m’arrêter la pour le résumé et vous dire le fond de ma pensé :
Vu la nature de cette oeuvre les notes sont bien superflu pour vous guider.
Vous n'avez qu'une solution pour savoir si ça vous plaît: vous lancer et voir par vous même. Les notes sur cette oeuvre sont bien trop subjective pour servir à quoi que ce soit. Ne vous laissez donc pas décourager par sa moyenne qui est bien trop basse par rapport aux qualités de l'Enclave.
En espérant vous avoir donnez l'envie de la lire.
Et en m'excusant pour le confusion de ma critique (c'est ton sur ton avec la BD en même temps)
Je vous souhaite de bonnes lectures.