C’est un coup de cœur, merci, les blabla de Tachan et l’Apprenti Otaku pour leur article dithyrambique sur cette nouvelle œuvre de Daruma Matsuura. Un gros reproche fait sur sa saga Kasane était une couverture magnifique, mais les dessins à l’intérieur étaient en dessous. Elles en jetaient, augmentant les attentes du lectorat. Cette déception pour ma part a été vite balayée par le magnétisme de Kasane quand elle monte sur les planches. Elle est lumineuse.
La danse du soleil et de la lune n’a pas ce défaut. La couverture est le reflet de la qualité des dessins à l’intérieur. Effectivement, Daruma Matsuura et son équipe ont fait un bond en avant. Leur dessin et leur trait gagnent en finesse, donc aussi en nuance. Konosuke ressemble à Kasane au niveau du dessin, car c’est un personnage plus brut. Sa femme quant à elle est sublime, vaporeuse, légère et rayonnante. Le contraste est saisissant. Cette différence de trait vient renforcer l’aura de mystère qui entoure sa femme. Comment une créature comme elle, qui pourrait avoir tous les hommes à ses pieds, peut-elle choisir un pauvre bougre comme Konosuke ? Elle est tellement belle qu’elle ne semble pas humaine. Peut-être ne l’est-elle pas ?
La suite de ma chronique :
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