En lisant cette BD, on ne peut oublier qu’il s’agit de la dernière œuvre de Taniguchi. Ainsi le ton mélancolique, la poésie tragique en sortent renforcés. Dans cette histoire, le grand auteur met en scène un adolescent qui contient toute sa tristesse, toute sa fragilité par pudeur et par peur. Face à lui, une forêt dont Taniguchi développe toute la puissance, toute la beauté et les secrets. Mais celle-ci est également fragile et ces deux univers se rencontrant forment l’axe narratif de cette BD...
Pour en savoir plus, lisez ma critique sur mon blog Le tourneur de pages https://tourneurdepages.wordpress.com/2018/04/11/la-foret-millenaire/