La guérison d'Averell
Le problème dans un album de Lucky Luke, c'est que généralement quand on parle des Dalton, le déroulement du scénario est archi-prévisible : ceux-ci s'évadent, Lucky Luke les poursuit et après...
Par
le 1 févr. 2014
9 j'aime
2
BD franco-belge de René Goscinny et Maurice de Bevere (Morris) (1975)
Un super Lucky Luke. Une caricature de la psychanalyse, à travers un professeur qui tente de guérir les Dalton de leurs instincts criminel. Une tonne de bon gags à travers ce thème. Super scénario, vraiment bien trouvé.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Mes critiques de BD franco belges
Créée
le 21 mai 2017
Critique lue 191 fois
1 j'aime
D'autres avis sur La Guérison des Dalton - Lucky Luke, tome 44
Le problème dans un album de Lucky Luke, c'est que généralement quand on parle des Dalton, le déroulement du scénario est archi-prévisible : ceux-ci s'évadent, Lucky Luke les poursuit et après...
Par
le 1 févr. 2014
9 j'aime
2
Bon, c'est sûr, c'est pas le meilleur des Lucky Luke, mais il a ce je ne sais quoi d'irrévérencieux qui est plus que plaisant. Les dessous de la psychanalyse réduite à un "Parlez-moi de votre...
Par
le 29 déc. 2010
7 j'aime
2
Album sympathique où l'on se moque de Luke, mais aussi de la psychanalyse, sans pour autant lui retirer ses mérites. Cette intrigue m'a beaucoup fait penser à Astérix : les querelles m'ont rappelé...
Par
le 21 nov. 2014
5 j'aime
2
Du même critique
Il s'agit d'un livre jeu (livre dont vous êtes le héros) qui consiste en une exploration de Donjon, assez proche du sorcier de la montagne de feu, en plus difficile. Ce livre commence avec une bonne...
Par
le 17 juil. 2011
11 j'aime
1
Voila un des meilleurs livres-jeux qui soient. Original déjà car il est un des seul défis fantastique à se passer à notre époque (disons vers les années 80), et puis on ne doit pas accomplir de...
Par
le 17 juil. 2011
10 j'aime
1
Ce tome, qui se veut la suite du cycle de fondation, a été écrit longtemps après les trois premiers et sous la pression des éditeurs qui exigeaient une suite à fondation, comme Asimov l'avoue lui...
Par
le 3 sept. 2011
9 j'aime