Des 3 premières BDs, c’est celle-ci dont j’ai préféré le style visuel. J’y ai trouvé une certaine forme d’ambition et de parti pris. Cependant, l’histoire plafonne toujours très vite et le gimmick tourne en rond. On retombe dans la caricature du cercle de la vie, de la vérité vraie, de la recherche de la connaissance et de l’inévitable tragique destin qui semble régir tous les êtres dans Bloodborne. Malheureusement, le scénario n’apporte rien et le lecteur ressort de l’œuvre encore plus confus qu’au début. De mon côté, je n’ai ressenti aucune émotion et, malgré un amour infini pour le jeu vidéo qui a servi de matériel d’origine, je ne retiens pas grand-chose de ces quelques minutes passées sur cette BD. C’est dommage, il y avait tant à faire.