Les cigales continuent à chanter dans ce second album. Je vais dresser maintenant un commentaire très personnel qui n'a de valeur que sous les yeux des plus curieux, Le château de ma mère est le seul roman qui m'a émue aux larmes. Alors pour ne point vous spoiler je préférerais vous abstenir car la fin de cette page autobiographique fend le cœur des plus pagnoliens (j'écris ce que je veux, c'est ma critique) d'entre nous. La plume si délicate de Marcel, toujours à l'affût de l'expression, du joli mot, de la transcendance sensitive n'est pas totalement trahie par cette adaptation toujours chaudement esquissée mais il manque toutefois la pleine présence éternelle de cette Maman adorée.