La collection Conan le Cimmérien aux éditions Glénat continue avec ce onzième tome, toujours le même principe 1 album, 1 nouvelle de Robert Howard.
Des auteurs différents à chaque fois, Doug Headline (fils du romancier Jean-Patrick Manchette) scénarise cette nouvelle dont j'ai de vague souvenir (j'ai lu il y a quelques années tous les récits sur Conan écrits pas Howard) ; il y a un côté polar dans cette aventure et même du style Agatha Chrisitie avec un coté huis-clos. Conan encore une fois devra faire face à des "gens civilisés" que sa condition de barbare désignera comme l'assassin d'un notable, de plus une malédiction rôde autour du lieu de l'action.
Cette histoire est racontée de plusieurs points de vue, chaque chapitre est narré par un des personnages.
C'est bien, agréable à lire toutefois cela aurait pu être plus fluide et si j'aime bien les dessins d'Emmanuel Civiello, je l'ai connu avec un trait plus puissant et moins brouillon.