Si les débuts des aventures de Nao auront été laborieux, d'un point de vue visuel comme scénaristique, c'est pourtant bien ici que tout commence vraiment. Le trait devient plus détaillé et précis, le changement de coloriste offre une palette verte plus froide, mais bien en adéquation avec le travail formidable de Cailleteau, qui nous délivre sûrement l'un des moments cultes de Aquablue : l'arrivée du vaisseau pirate Megophias, conduit par la pensée par son étrange capitaine en cuve.
Visuellement plus réussi, bien plus créatif, et faisant la part belle à l'action, le démarrage de cette saga culte commence ici.