L'actualité sur Le Pauvre Type
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The Poor Bastard
2008 • Comics de Joe Matt
Résumé : Dans Le Pauvre Type, Joe a une petite amie, Trish, mais il fantasme sur une copine à elle et poursuit sans vergogne ses pratiques masturbatoires. S'il fallait établir un portrait-robot du mâle occidental incapable de s'engager dans une relation affective, égocentrique, radin et obsédé sexuel, l'image obtenue ressemblerait sans doute à cet autoportrait non complaisant. Joe Matt en rajoute, paraît-il, à tel point qu'on se demande parfois quel est l'objectif d'une telle opération. L'humour, évidemment. Mais aussi l'Art avec un grand «A». Car ici, rarement l'économie graphique d'une bande dessinée autobio n'aura atteint de tels sommets. C'est pertinent, cérébral, méticuleux. C'est Joe Matt.Joe Matt est né en 1963 à Philadelphie aux Etats-Unis. Pendant quatre ans, il étudie au Philadelphia Collège of Arts. Il commence par des petits boulots comme livreur de bandes dessinées avant d'être engagé comme coloriste sur la série Grendel. Il débute en 1991 avec une bande dessinée autobiographique, Peepshow, où il se confie sans limite et avec beaucoup d'autodérision sur sa vie quotidienne (ses relations amoureuses, sa dépendance à la pornographie, ses galères) et sur son enfance dans une atmosphère très catholique. Vient ensuite The Poor Bastard en 1996 et Pair Weather en 2002. Joe Matt est édité par Drawn and Quaterly aux Etats-Unis et dessine très souvent ses amis Chester Brown et Seth dans ses histoires. Peepshow est publié en France en deux parties (Strip Tease et Kids) en 2004 et 2005 au Seuil, qui a publié également Épuisé en 2007. Joe Matt a été nommé "Hot cartoonist" en 1994 par le magazine Rolling Stone et est considéré comme l'un des piliers de la bande dessinée indépendante et surtout autobiographique.
The Poor Bastard
2008 • Comics de Joe Matt
Résumé : Dans Le Pauvre Type, Joe a une petite amie, Trish, mais il fantasme sur une copine à elle et poursuit sans vergogne ses pratiques masturbatoires. S'il fallait établir un portrait-robot du mâle occidental incapable de s'engager dans une relation affective, égocentrique, radin et obsédé sexuel, l'image obtenue ressemblerait sans doute à cet autoportrait non complaisant. Joe Matt en rajoute, paraît-il, à tel point qu'on se demande parfois quel est l'objectif d'une telle opération. L'humour, évidemment. Mais aussi l'Art avec un grand «A». Car ici, rarement l'économie graphique d'une bande dessinée autobio n'aura atteint de tels sommets. C'est pertinent, cérébral, méticuleux. C'est Joe Matt.Joe Matt est né en 1963 à Philadelphie aux Etats-Unis. Pendant quatre ans, il étudie au Philadelphia Collège of Arts. Il commence par des petits boulots comme livreur de bandes dessinées avant d'être engagé comme coloriste sur la série Grendel. Il débute en 1991 avec une bande dessinée autobiographique, Peepshow, où il se confie sans limite et avec beaucoup d'autodérision sur sa vie quotidienne (ses relations amoureuses, sa dépendance à la pornographie, ses galères) et sur son enfance dans une atmosphère très catholique. Vient ensuite The Poor Bastard en 1996 et Pair Weather en 2002. Joe Matt est édité par Drawn and Quaterly aux Etats-Unis et dessine très souvent ses amis Chester Brown et Seth dans ses histoires. Peepshow est publié en France en deux parties (Strip Tease et Kids) en 2004 et 2005 au Seuil, qui a publié également Épuisé en 2007. Joe Matt a été nommé "Hot cartoonist" en 1994 par le magazine Rolling Stone et est considéré comme l'un des piliers de la bande dessinée indépendante et surtout autobiographique.
The Poor Bastard
2008 • Comics de Joe Matt
Résumé : Dans Le Pauvre Type, Joe a une petite amie, Trish, mais il fantasme sur une copine à elle et poursuit sans vergogne ses pratiques masturbatoires. S'il fallait établir un portrait-robot du mâle occidental incapable de s'engager dans une relation affective, égocentrique, radin et obsédé sexuel, l'image obtenue ressemblerait sans doute à cet autoportrait non complaisant. Joe Matt en rajoute, paraît-il, à tel point qu'on se demande parfois quel est l'objectif d'une telle opération. L'humour, évidemment. Mais aussi l'Art avec un grand «A». Car ici, rarement l'économie graphique d'une bande dessinée autobio n'aura atteint de tels sommets. C'est pertinent, cérébral, méticuleux. C'est Joe Matt.Joe Matt est né en 1963 à Philadelphie aux Etats-Unis. Pendant quatre ans, il étudie au Philadelphia Collège of Arts. Il commence par des petits boulots comme livreur de bandes dessinées avant d'être engagé comme coloriste sur la série Grendel. Il débute en 1991 avec une bande dessinée autobiographique, Peepshow, où il se confie sans limite et avec beaucoup d'autodérision sur sa vie quotidienne (ses relations amoureuses, sa dépendance à la pornographie, ses galères) et sur son enfance dans une atmosphère très catholique. Vient ensuite The Poor Bastard en 1996 et Pair Weather en 2002. Joe Matt est édité par Drawn and Quaterly aux Etats-Unis et dessine très souvent ses amis Chester Brown et Seth dans ses histoires. Peepshow est publié en France en deux parties (Strip Tease et Kids) en 2004 et 2005 au Seuil, qui a publié également Épuisé en 2007. Joe Matt a été nommé "Hot cartoonist" en 1994 par le magazine Rolling Stone et est considéré comme l'un des piliers de la bande dessinée indépendante et surtout autobiographique.
The Poor Bastard
2008 • Comics de Joe Matt
Résumé : Dans Le Pauvre Type, Joe a une petite amie, Trish, mais il fantasme sur une copine à elle et poursuit sans vergogne ses pratiques masturbatoires. S'il fallait établir un portrait-robot du mâle occidental incapable de s'engager dans une relation affective, égocentrique, radin et obsédé sexuel, l'image obtenue ressemblerait sans doute à cet autoportrait non complaisant. Joe Matt en rajoute, paraît-il, à tel point qu'on se demande parfois quel est l'objectif d'une telle opération. L'humour, évidemment. Mais aussi l'Art avec un grand «A». Car ici, rarement l'économie graphique d'une bande dessinée autobio n'aura atteint de tels sommets. C'est pertinent, cérébral, méticuleux. C'est Joe Matt.Joe Matt est né en 1963 à Philadelphie aux Etats-Unis. Pendant quatre ans, il étudie au Philadelphia Collège of Arts. Il commence par des petits boulots comme livreur de bandes dessinées avant d'être engagé comme coloriste sur la série Grendel. Il débute en 1991 avec une bande dessinée autobiographique, Peepshow, où il se confie sans limite et avec beaucoup d'autodérision sur sa vie quotidienne (ses relations amoureuses, sa dépendance à la pornographie, ses galères) et sur son enfance dans une atmosphère très catholique. Vient ensuite The Poor Bastard en 1996 et Pair Weather en 2002. Joe Matt est édité par Drawn and Quaterly aux Etats-Unis et dessine très souvent ses amis Chester Brown et Seth dans ses histoires. Peepshow est publié en France en deux parties (Strip Tease et Kids) en 2004 et 2005 au Seuil, qui a publié également Épuisé en 2007. Joe Matt a été nommé "Hot cartoonist" en 1994 par le magazine Rolling Stone et est considéré comme l'un des piliers de la bande dessinée indépendante et surtout autobiographique.
The Poor Bastard
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Résumé : Dans Le Pauvre Type, Joe a une petite amie, Trish, mais il fantasme sur une copine à elle et poursuit sans vergogne ses pratiques masturbatoires. S'il fallait établir un portrait-robot du mâle occidental incapable de s'engager dans une relation affective, égocentrique, radin et obsédé sexuel, l'image obtenue ressemblerait sans doute à cet autoportrait non complaisant. Joe Matt en rajoute, paraît-il, à tel point qu'on se demande parfois quel est l'objectif d'une telle opération. L'humour, évidemment. Mais aussi l'Art avec un grand «A». Car ici, rarement l'économie graphique d'une bande dessinée autobio n'aura atteint de tels sommets. C'est pertinent, cérébral, méticuleux. C'est Joe Matt.Joe Matt est né en 1963 à Philadelphie aux Etats-Unis. Pendant quatre ans, il étudie au Philadelphia Collège of Arts. Il commence par des petits boulots comme livreur de bandes dessinées avant d'être engagé comme coloriste sur la série Grendel. Il débute en 1991 avec une bande dessinée autobiographique, Peepshow, où il se confie sans limite et avec beaucoup d'autodérision sur sa vie quotidienne (ses relations amoureuses, sa dépendance à la pornographie, ses galères) et sur son enfance dans une atmosphère très catholique. Vient ensuite The Poor Bastard en 1996 et Pair Weather en 2002. Joe Matt est édité par Drawn and Quaterly aux Etats-Unis et dessine très souvent ses amis Chester Brown et Seth dans ses histoires. Peepshow est publié en France en deux parties (Strip Tease et Kids) en 2004 et 2005 au Seuil, qui a publié également Épuisé en 2007. Joe Matt a été nommé "Hot cartoonist" en 1994 par le magazine Rolling Stone et est considéré comme l'un des piliers de la bande dessinée indépendante et surtout autobiographique.
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Résumé : Dans Le Pauvre Type, Joe a une petite amie, Trish, mais il fantasme sur une copine à elle et poursuit sans vergogne ses pratiques masturbatoires. S'il fallait établir un portrait-robot du mâle occidental incapable de s'engager dans une relation affective, égocentrique, radin et obsédé sexuel, l'image obtenue ressemblerait sans doute à cet autoportrait non complaisant. Joe Matt en rajoute, paraît-il, à tel point qu'on se demande parfois quel est l'objectif d'une telle opération. L'humour, évidemment. Mais aussi l'Art avec un grand «A». Car ici, rarement l'économie graphique d'une bande dessinée autobio n'aura atteint de tels sommets. C'est pertinent, cérébral, méticuleux. C'est Joe Matt.Joe Matt est né en 1963 à Philadelphie aux Etats-Unis. Pendant quatre ans, il étudie au Philadelphia Collège of Arts. Il commence par des petits boulots comme livreur de bandes dessinées avant d'être engagé comme coloriste sur la série Grendel. Il débute en 1991 avec une bande dessinée autobiographique, Peepshow, où il se confie sans limite et avec beaucoup d'autodérision sur sa vie quotidienne (ses relations amoureuses, sa dépendance à la pornographie, ses galères) et sur son enfance dans une atmosphère très catholique. Vient ensuite The Poor Bastard en 1996 et Pair Weather en 2002. Joe Matt est édité par Drawn and Quaterly aux Etats-Unis et dessine très souvent ses amis Chester Brown et Seth dans ses histoires. Peepshow est publié en France en deux parties (Strip Tease et Kids) en 2004 et 2005 au Seuil, qui a publié également Épuisé en 2007. Joe Matt a été nommé "Hot cartoonist" en 1994 par le magazine Rolling Stone et est considéré comme l'un des piliers de la bande dessinée indépendante et surtout autobiographique.
The Poor Bastard
2008 • Comics de Joe Matt
Résumé : Dans Le Pauvre Type, Joe a une petite amie, Trish, mais il fantasme sur une copine à elle et poursuit sans vergogne ses pratiques masturbatoires. S'il fallait établir un portrait-robot du mâle occidental incapable de s'engager dans une relation affective, égocentrique, radin et obsédé sexuel, l'image obtenue ressemblerait sans doute à cet autoportrait non complaisant. Joe Matt en rajoute, paraît-il, à tel point qu'on se demande parfois quel est l'objectif d'une telle opération. L'humour, évidemment. Mais aussi l'Art avec un grand «A». Car ici, rarement l'économie graphique d'une bande dessinée autobio n'aura atteint de tels sommets. C'est pertinent, cérébral, méticuleux. C'est Joe Matt.Joe Matt est né en 1963 à Philadelphie aux Etats-Unis. Pendant quatre ans, il étudie au Philadelphia Collège of Arts. Il commence par des petits boulots comme livreur de bandes dessinées avant d'être engagé comme coloriste sur la série Grendel. Il débute en 1991 avec une bande dessinée autobiographique, Peepshow, où il se confie sans limite et avec beaucoup d'autodérision sur sa vie quotidienne (ses relations amoureuses, sa dépendance à la pornographie, ses galères) et sur son enfance dans une atmosphère très catholique. Vient ensuite The Poor Bastard en 1996 et Pair Weather en 2002. Joe Matt est édité par Drawn and Quaterly aux Etats-Unis et dessine très souvent ses amis Chester Brown et Seth dans ses histoires. Peepshow est publié en France en deux parties (Strip Tease et Kids) en 2004 et 2005 au Seuil, qui a publié également Épuisé en 2007. Joe Matt a été nommé "Hot cartoonist" en 1994 par le magazine Rolling Stone et est considéré comme l'un des piliers de la bande dessinée indépendante et surtout autobiographique.