Dans la directe continuité du tome précédent, on continue à suivre ce personnage presque anti-héros de John O’Neil dans sa lutte sans merci avec un ennemi que son gouvernement ignore. Sauf que cette fois-ci, on se rapproche à grands pas de l’évènement pilier autour de cette trilogie. Non seulement il est lâché de presque tous, mais on sent également la tension qui monte face à cette menace invisible. Jusqu’au dénouement, là où l’histoire est réécrite à jamais, et le point fort ici sera que les personnages ne seront pas épargnés. Les dessins seront toujours très chouettes, avec quelques planches et cases extrêmement symboliques.
Toujours en jonglant très proche de la réalité, ce tome poursuit cette excellente trilogie dans un thriller haletant, ce qui en fait une des meilleures histoires de la série jusqu’à présent.