Un récit solide, épousant la diversité des membres de la JL et des thèmes moraux et géo-politiques également plutôt larges. Poussant le leader Batman au bord du gouffre, la ligue dans ses retranchements en la confrontant à ses propres contradictions, Priest réussit un run certes court, mais dense et prenant, se payant le luxe de dresser le portrait d'un nouveau super-vilain particulièrement machiavélique.
Première grande réussite de la JL depuis Geoff Johns, et vu le peu enthousiasme que j'éprouve avec les métalleries de Snyder, ce récit risque de rester encore quelque temps ma dernière très bonne lecture récente de l'équipe.