Ce tome 3 a surpassé toutes mes attentes, tant sur le plan graphique que narratif. Bea et Cad poursuivent leur quête de la lumière dans un monde plongé dans une nuit permanente. Krest n’était pas l’ennemi qu’ils pensaient, mais alors, pourquoi la lumière a-t-elle disparu ? Tandis que Cad cherche toujours les siens, leur route les mène à la citadelle des savoirs, où d’anciens secrets pourraient tout changer.
Tim Probert excelle dans son art. Son trait, sensible et expressif, évolue avec brio. L’usage des couleurs est magistral : entre chaleur rassurante et froideur inquiétante, elles traduisent les émotions des personnages. L’évolution entre les tomes est flagrante, notamment dans la construction des planches et le rythme du récit.
Cette saga mélange conte et réflexion écologique. Tim Probert livre une œuvre immersive qui pousse à repenser notre rapport au monde et à ses ressources.
Ma chronique complète
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