Depuis peu je suis rentré dans l'univers froid et mythologique fait de monstres et légendes violentes de David B.
Le gaillard nous emmène dans ses histoires avec une facilité d'aplomb.
On y entre et on en ressort avec le cerveau plein d'images et de symboles. Cela déroute aussi. On peut vite perdre le fil des situations tellement les unités de temps, lieu et action n'ont plus lieu d'être.
Mon petit désarroi concernant cette fable mythologique nippone concerne la couleur.
Qu'il eût été plus judicieux de l'utiliser à mon avis.
Seulement je reprendrai bien du David B, ne serait ce que pour le fourmillement de trouvailles : le changement de visage, l'ombre qui se détache ou encore une idée de démons cycliques.