Au deuxième tome, j'ai toujours autant de mal avec l'écriture de Thomas Cadène. A quoi bon avoir une pléiade de dessinateurs tous plus talentueux les uns que les autres si c'est pour leur soumettre une trame aussi clichée ?
Seule Marion Montaigne tire brillamment son épingle du jeu en résumant le tome 1 de façon hilarante (mais sans le texte de Cadène, donc) et en montrant paradoxalement à quel point le scénario est une compilation de déjà-vu.
Mention spéciale aussi à Alexandre Franc, qui parvient à sublimer le texte grâce à son dessin légèrement surréaliste.