Les hommes ont décidés de l'annihiler par celle de la technique quand ils ont choisis de ne plus en être, devenir des machines au service d'un système : sacrifier leur individualité naturelle.
La foret est si grasse dans son expression et pourtant si sèche, elle ne te laisse pas de cadeau à part dans un sens celui de bien te récompenser de tes efforts de compétent sauvage.
On ne voit la beauté autour de soi qu'en intégrant cette vive volonté de vivre des composantes animales et végétale dans toutes les teintes permises : une chorale qui hurle toute la journée sa volition, et parfois même la nuit ses défaites et ses rejets de certains spécimens se faufilant dans ce que l'existence leur laisse comme place dans l'ombre.
Il n'y a rien de plus magnifique qu'un homme qui accepte ce duel constant, être entouré de couleurs qui ne veulent le recouvrir que pour prouver leur légitimité de leur vision harmonieuse de l'existence.
Sans rien si ce n'est son ingéniosité, c'est là qu'il montre le plus totalement le plein potentiel des êtres vivants, le génie le plus haut de tous les règnes : l'invention continuelle pour survivre dans un environnement par essence hostile.
Vouloir s'affirmer dedans avec ses petits bras et son souffle court pour ressentir sans jamais discontinuer la beauté de tout.
Renoncer à l'anesthésie de la société, la somnolence abreuvés de flashs encore et encore pour ne jamais vraiment se reposer de quoi que se soit et donc rester dans le même esprit peu importe les changements, car on ne peut pas les voir par le double aveuglement de la nuit sans fin et de ses lumières attrapantes.
Eprouver l'exténuation régénérante par la vigilance absolue sur son environnement.
Prêter attention au moindre détail car c'est dans ceux-ci que l'on remarque que chaque individu à sa place par la totalité de ses effets, son enracinement et interpénétration dans tout, et donc inéchangeabilité et unicité.
Ce n'est pas un puzzle, les pièces de celui-ci ne ressemblent à aucune autre dans un petit jeu se limitant à moins d'un mètre carré, mais plus le système est profond et large plus chaque unité va devoir se spécialiser en elle-même pour le bien de toutes les autres.
Leur essence respective se taillant par leur niveau d'intrication autour d'eux, créée une osmose, une symphonie aussi étendue que l'est leur monde qui rayonnent par son niveau d'enchevêtrement, de complexification de fourmillement de détails qui naissent par les imbrications de plus en plus petites elles même en créant d'autres.
La nature s'étend dimensionnellement puis interdimensionnellement, quand elle a atteint une limite infranchissable, par les possibilités de créations de plus en plus petites : les subdivisions de la vie, s'enracinant dans des conceptualsiation d'univers de plus en plus minuscule, des lieux minatures dans lesquelles poussent pourtant des nouveaux mondes entiers, et qui apportent eux aussi aussi leur pierre à l'édifice, la finition ressplendissante de tout ca.
C'est en faisant attention aux détails que tu prouves toute la puissance de capacité créative, car tu comprend le sens de chaque chose, jusqu'à la plus insignifiante, son imbrication et donc sa capacité à soutenir plein d'autres choses pour porter des œuvres encore plus belles.