Broderies improbables sur la vie d'un Milarepa-Greystoke, dans le syncrétisme tantrico-manichéen qui est la marque de fabrique de Jodo. Il n'est bien entendu jamais question de bouddhisme. Juste de ces choses inessentielles _ aux yeux d'un sadhaka (voir ce mot, on est sur Internet, bordel !) - qui font de l'homme l'équivalent d'un dieu et les pratiques spirituelles l'acquisition de pouvoirs aussi démesurés que bien pratiques.
Mais, bien bien loin des splendeurs de Tintin au Tibet, cette parenthèse mystico-nawak reste plaisante, allumée, pas trop la menée malgré ses répétitions, et puis bon, Milarepa, quoi ! (ça, c'est dla critique)