Un diptyque de transition, qui commence très doucement avec ce tome 9. On retourne sur une affaire de nazis, en s'intéressant cette fois au rôle du Vatican. Guère passionnant même si l'enquête de Larry est comme toujours bien menée et qu'on a pas l'impression d'avoir une sur-vulgarisation du monde financier. J'attends de voir où ça va nous mener par la suite (car j'avoue que ces deux tomes ne m'avaient pas marqué à la première lecture).
Du côté de la vie privée, toujours le point fort d'IR$. Larry a finalement sauvé Gloria de celui qu'il haïssait, Gloria ou plutôt Kate (appelons la par son véritable nom) l'aime et lui tombe dans les bras.
Mais quelque chose dérange notre héros. Avait-il fini par se persuader d'aimer la star? Ou est-ce au contraire qu'il refuse de la gêner dans son retour glorieux à Holywood? En tout cas, nos deux amants téléphoniques, désormais se connaissant mutuellement, ont plus que jamais du mal à se parler tandis que Larry choisit de se plonger à corps perdu dans son travail au fisc, sans oublier d'avoir quelques conquêtes au passage. Ne sera-t-il jamais l'homme d'une seule femme...